Errata
Commenter Bamidbar « La voix de Jacob » TOME 4 (édition 2013)
au 18 février 2017
page | lire |
T4, p. 23 | Ligne 1 - Lire: “recensement des Lévites” 1er paragraphe, dernière phrase ire « On parvient à un total de 8580 lévites… » |
T4, p. 25 | Complément. 2ème paragraphe. Insérer avant la dernière phrase : « Selon certaines traditions de lecture de cette paracha, le texte lu lors de la montée à la Torah du Cohen s’étend jusqu’à la fin de cette bénédiction ». Note : c’est la tradition de Djerba, Tunisie (voir le Tikoun Ich Maçlia’h). |
T4, p. 34 | 1ère ligne. Lire : Par ailleurs, la paracha Nasso (lue après chabou’ot, en principe)… Note : Cela n’a pas été le cas dans l’année embolismique 5774, la paracha précédant la fête de quelques jours. |
T4, p. 38 | 3 dernières lignes. Style revu. « . Les sagesses ‘extérieures’ sont ce que l’on appelle aujourd’hui les ‘sciences’ : elles traitent des phénomènes propres au monde des ‘six jours’). La sagesse de la Torah a pour objet l’idéal de la conduite de l’homme libre dans le monde. » Note : Voir : R’ Léon Askénazi (2007), pp. 300-301. |
T4, p. 39 | Note 11. Reprise de la traduction (ligne 7 à fin de la note) « Les Sages d’Israël disent : ‘Pendant la journée, le soleil progresse en-dessous du ciel [il brille et nous le voyons], et pendant la nuit, par-dessus’ [il brille mais nous ne le voyons pas]. Et les sages des nations du monde disent : ‘Pendant la journée le soleil progresse en dessous du ciel et pendant la nuit par dessous de la terre’. Sur quoi Rabbi a dit : ‘Leur point de vue semble préférable au nôtre’ [ce qui explique que] les sources d’eau sont fraîches pendant la journée et chaudes pendant la nuit ». Traduction d’après R’ Israël Salzer (1986), Pessa’him, Verdier » |
T. 4, pp. 43-44 | 3ème ligne à partir du bas. Reformulation. |
T4, p. 114 | Note 15. Remplacer Le terme de Terre « donnée » par Hachèm à Abraham convient mieux que celui de Terre « promise ». |
T. 4, p. 119 | 3ème paragraphe (après le titre)- Lire : « A côté de la méthode de Bil’am, une autre méthode existe, que l’on pourrait qualifier de méthode de ‘Og. » |
T. 4, p. 132 | Nouvelle rédaction de « Une lettre en petit caractère ». Lire : On constate que le nom de Pin’has (Bamidbar, 25, 11) comprend une lettre yod de taille réduite. Cette rétractation du yod, lettre yod, qui fait partie du Tétragramme, suggère que la présence divine s’est retirée alors de Pin’has pendant son acte de violence1. Le petit caractère du yod apparaît comme un point. Peut-être est-il possible d’avancer ce qui suit à titre d’hypothèse. A propos des points surlinéaires Rachi avait enseigné ailleurs (sur Bamidbar 3, 39) qu’ils suggéraient de ne pas tenir compte de la lettre pointée dans l'interprétation. Or lit dans la Torah : פִּֽינְחָ֨ס בֶּן־אֶלְעָזָ֜ר בֶּן־אַֽהֲרֹ֣ן « Pin’has ben El’azar ben Aharon » (Bamidbar 25, 11). Soit 14 lettres dont une pointée. On obtient donc 13 lettres et non 14. Pin’has (4 lettres: 5 lettres moins une) ben El’azar (5 lettres) ben Aharon (4 lettres) 2. Or, 13 est une allusion aux attributs divins qui sont au nombre de 13, dont רַח֖וּם (Miséricordieux)3. La miséricorde divine est mise en œuvre à la suite de fautes (veau d’or et explorateurs) pour atténuer la sévérité de durs décrets pris à l’encontre des enfants d’Israël. Ces remarques sont cohérentes avec une constatation de nos Maîtres : par son acte, Pin’has a apaisé le principe de rigueur (les initiales de ce nom ont une valeur numérique de 864, guématria du Nom divin E.lohim allusion au principe de rigueur de Hachém)5 Notes : [1] Nos maîtres enseignent par ailleurs que la présence divine se retirent l’homme en colère. [1] 4+5+4=13. Cit. R’ Y. Abeh’ssera, Pitou’hé ‘Hotam, 5765, p. 422. [1] Chémot 34, 6-7 et Bamidbar 14,18. Voir aussi : Mikha 7, 18-20. [1] Pé de Pin’has = 80; beth de ben = 2; aleph de El’azar = 1; beth de ben = 2; aleph de Aharon = 1. [1] Voici le compte: (aleph=1) + (lamed=30) + (hé=5) + (yod=10) + (mem=40). R’ Y. Abeh’ssera, Pitou’hé ‘Hotam, 5765, pp.421-422. |
T4, p. 156 | Etape 10. Lire : (Bamidbar 33, 13) et non 33, 12. |