Errata T. 7. (2013)

 

Errata  - Grammaire hébraïque -   « La voix de Jacob »   TOME 7  (2013)  

au 18 février 2017

pageslire
T.7, p. 54ème ligne - Remplacer la phrase par

« La voyelle du mem de מה ne peut avoir le son « a » dans מֶ֥ה עָשִׂ֖יתָ לִ֑י (Bamidbar 23,11) ou עַל-מֶה עָשָׂה   (Dévarim 29, 23) car  le mem de מה porte généralement un ségol si le mot suivant commence par עָ . »

T.7, p. 27Dernier paragraphe - Lire « Devant la mine étonnée d’Acher »
T.7, p. 45COMPLEMENT à la règle  « une syllabe fermée et accentuée reçoit une voyelle longue » - Ajouter : « Il existe de nombreux contre-exemples:
לָמַד (pata’h sous le mem), et il en est de même de tout le groupe
du pa’al à la 3ème pers. du passé.

On trouve dans le Tanakh : תָמִם (‘hirik de mem sans yod), אֵילִם (‘hirik de lamed sans yod), et une infinité de mot comme טֹבֹת (‘h'olam de vet sans waw - ‘holam ‘hasser qui est une voyelle moyenne et non h'olam malé qui est une voyelle longue). »

T.7, p. 45COMPLEMENT à la règle « une syllabe ouverte non accentuée reçoit toujours une voyelle longue »- Remplacer par : « une syllabe ouverte non accentuée reçoit une voyelle longue mais pas toujours. Ainsi en est-il dans tout le groupe du piel à la 3ème personne de l'impératif, ex דַבֵּר (pata’h sous le daleth). »
T.7, p. 45Paragarphe até mera’hik, ligne 2 - Lire :

« et » et non « est »  dans : « précédé d’un mot milé’el et… »

T.7, p. 89Modifier le 3- Guimel. Modification de l’ordre des exemples d’application : commencer par :  tséré; hirik gadol ; ‘holam malé. Indiquer ensuite : « Mais également après des voyelles moyennes ou courtes (suivies de la ga’ya qui les « allonge » en quelque sorte ». Indiquer alors les exemples de :  ‘holam ‘hasser ; kamats gadol ;  chourouk.
T.7, p. 92Après le titre du paragraphe 5. Remplacer la phrase

« Le chéwa placé sous la première de deux lettres identiques se prononce ‘ é’».

T.7, p. 110COMPLEMENT : ajouter en bas de page, à la fin de la section 5.5.1.

« Quant à la tradition yéménite, elle rejette la voyelle ségol (note). »

Note : Cette tradition remonte notamment à des traditions babyloniennes antérieures à la massora de Tibériade. Bien qu’ayant adopté la tradition massorétique, les Yéménites l’ont adaptée à leurs usages antérieurs Le ségol est prononcé comme le pata’h (a du mot anglais  father)  « For Yemenites, the vowel segol is pronounced EXACTLY the same as the vowel
pataH, just as in the old Babylonian Bible manuscripts, which just have
one vowel for the two separate sounds found in Tiberian manuscripts. On our site, we of course follow the

Tiberian manuscripts, not the Yemenite ones. » D’après le webmaster de l’Institut Mamré, 9 mars 2014.

T.7, p. 127COMPLEMENT : ajouter à la fin du passage sur le DA’HIK  (דחיק)

ֶֽחֱטָא־לָֽך׃ (Téhilim 119, 11) On est dans un cas de dé’hik (l’accentuation du premier mot aurait dû se trouver sur la dernière syllabe mais elle est repoussée en milé’el). L’accentuation du premier mot aurait dû se trouver sur la dernière syllabe mais elle est repoussée en milé’el. L’accentuation du premier mot aurait dû se trouver sur la dernière syllabe mais elle est repoussée en milé’el.   La première consonne du deuxième mot aurait dû contenir un daguech : ce n’est pas le cas (le lamed est rafé) car le premier mot se termine par un aleph après le kamats et non un hé. (Note : Séfer Téhélim, R’ Nissim Raphael, Kollel Ner Raphael (KNR), Jérusalem, note sur le verset, p 226)

T.7, p. 132COMPLEMENT : ajouter après la 8ème ligne.

« J’ai entendu rapporter une tradition voulant que c’est dans la partie supérieure de la lettre que se trouve le daguech et non dans la partie inférieure. Note : Y.M. (janv. 2014). »

T.7, p. 137COMPLEMENT : ajouter après la 2ème ligne.

« Sur la tradition yéménite  (note) »

Note : Cette tradition remonte notamment à des traditions babyloniennes antérieures à la massora de Tibériade. Bien qu’ayant adopté la tradition massorétique, les Yéménites l’ont adaptée à leurs usages antérieurs et leurs manuscripts ont bien plus de méteg-s.  (« we Yemenites already had a tradition from Babylon before we got the Tiberian tradition, and
though we did adopt the Tiberian tradition, we did adapt it somewhat to
what we were already used to (with the rejection of the vowel segol, for
example).  The Yemenite tradition for the meteg is quite different from
that of the Tiberian manuscripts, with far more metagim in the Yemenite
manuscripts (often twice as many)
 ». Webmaster, Institut Mamré, 9 mars 2014.

T.7, p. 137

Modification du titre 6.3.2. « Prononciation »

T.7, p. 138Numérotation 5ème ligne avant la fin-  « 4) » et non « 3) »
T.7, p. 139Numérotation 3ème ligne -  « 5) » et non « 4) »
T. 7, p. 152Fin de la page. COMPLEMENT - « Mais des exceptions existent (les mots à suffixe accentués sont signalés par un ta’am signalant l’accent ou par une ga’ya sous le suffixe accentué : עַבְדְּךָ֥ Ps. 119, 17 ;  לְ֭עַבְדְּךָֽ  Ps. 119, 38). »
T. 7, p. 171Compléter la fin de la note 88. Lire :

« Rav péalim, ora’h ’haïm, partie 2, question 25 ; ou dans une autre édition 11, 25, cit. D. Karsenti,1991 »

T.7, p. 172-173Sur le ta’am tar’ha. - Remplacer une phrase par « Ce ta’am ne marque pas toujours l’accent tonique : אַשְׁרֵ֥י  (Ps. 119,1) mais אַ֭שְׁרֵי  (Ps. 119,2) [note- לטפחא אין ניגון est-il précisé par‘Amram Avgui (2009), p. 311.]. Ce ta’am est disjonctif (en syllabe tonique selon A. Dammron [p. 12.]). Son intensité disjonctive peut être comparable à celle de l’atna’h, surtout dans les versets courts [note- P. Joüon (1923), p. 42.] »
T.7, p. 180Note 155. Remplacer le début par « Ou atna’h hafoukh. Il se présente…”
T.7, p. 181Remplacer לא par וְעָשִׂיתָ   (remplacer tout le 2ème paragraphe qui commence par une flèche)

Ø  En ta’am ta’hton le verset suivant (Chémot 20,8)  se lit:  שֵׁ֤שֶׁת יָמִים֙ תַּֽעֲבֹ֔ד וְעָשִׂ֖יתָ כָּל־מְלַאכְתֶּֽךָ׃  le kaf est dégoucha car  le mot qui le précède porte un Ta’am disjonctif   [1]. cela car וְעָשִׂ֖יתָ  se terminant par une אֶהֱוִ״י voilée, la présence du kamats à la fin du mot précédent signale une terminaison virtuelle en ; en cas de ta’am conjonctif le daguech kal disparaît[2]. Il n’en va pas de même en ta’am ‘Elyon car וְעָשִׂיתָ  porte un signe conjonctif (chofar holekh) et  le khaf perd son daguech kal [3].

T.7, p. 183Remplacer la ligne De’hi par la suivante :

Dé’hi (ou tif’ha)

Sous l’initiale, à droite de la voyelle

(־֭‎)  ‎  אַ֭שְׁרֵֽי  (Téhilim 119, 1)
T.7, p. 183Entre les deux tableaux, lire : « Le tableau suivant distingue trois sortes de rabia’, tous disjontifs. »
T.7, p. 185Sur le ta’am Olé - Compléter par : « indique la position de l’accent tonique. Ainsi הֵ֝פֵ֗רוּ  (Ps. 119, 126) férou ».
T.7, p. 187Section 8.3., 1er mot de la 2ème ligne -  Lire : « assitée »
T.7, p. 203Milieu de la page - Lire : «  la racine .ש.ק.ד que l'on retrouve dans : chaked amande. »
T.7, p. 2171ère ligne, 9ème mot -  Lire : « marqué »
T.7, p. 218 

Remplacer la ligne correspondante par :

ֵהצֹאן-רוֹעֵהרוֹעֶהֶה
T.7, p. 2237ème ligne  - AJOUTER : « Exceptions : מַרְפֵּק coudes, שְׁרִירִים muscles (évoquant la force, ces noms relèvent du masculin) »
T.7, p. 255Remplacer la dernière ligne du 3ème paragraphe :

Lire : « singulier, à l’accompli (passé) ».

T.7, p. 260Dans les précisions du Raza’’z, dernier paragraphe, dernier mot - Lire « d’ »
T.7, p. 261Note 27 - Lire : W. Gesenius
T.7, p. 261Note 31 - Lire : Auvray
T.7, p. 284Remplacer le titre par « Les trois modes du volitif » et la phrase qui suit par :

« Les trois formes du volitif

Il s’agit de formes verbales augmentées de l’inaccompli qui conviennet aux effets oratoires et à l’expression de l’emphase. »

T.7, p. 293Dans le paragraphe « moule », lire  X kamats X pata’h X
T.7, p. 301- 2ème ligne. Lire : « Elles indiquent la nature de l’action accomplie ou subie avec intensité. »

- milieu de la page (exemple du verbe « rire »). Lire

Ø צִחֵק (il a ri). Comparer au pa’al: צָחַק  = il s’est amusé/ il s’est moqué ;

T.7, p. 397Référence Gesenius à remplcer par celle-ci, plus complète :

Gesenius, Wilhelm (1910), Hebrew Grammar edited and enlarged by Emil Kautzsch, translated by Arthur Ernest Cowley. 531 pages plus index sujets. Voir : les pages   https://en.wikisource.org/wiki/Page:Gesenius%27_Hebrew_Grammar_(1910_Kautzsch-Cowley_edition).djvu/5 et suivantes jusqu’à https://en.wikisource.org/wiki/Page:Gesenius%27_Hebrew_Grammar_(1910_Kautzsch-Cowley_edition).djvu/557  (début de  l’index des sujets).

T.7, p. 399COMPLEMENT  Bibliographie. Grammaire araméenne

Steinsaltz, R’ Adin (1989, pour la 1ère édition), En Français: Talmud - L'édition Steinsaltz - Guide et lexiques  (un chapitre sur la grammaire de l’araméen)

Notes 

[1] Philippe E. (2007-2010), Dikdouk free sur la paracha yitro.

[2] Voir ci-dessus, chapitre 4 (section : 4.5.6).

[3] Philippe E. (2007-2010), Dikdouk free sur la paracha yitro.

 

 

 

 

 

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