Indications liturgiques
Les communautés sépharades [1] lisent ce texte (Yécha’yahou 54,1-10) ainsi que certains Achkénazes [2].Cette haftara [3] est également lue la semaine de la paracha Ki Tétsé.
Les Achkénazes [4](Yécha’yahou 54,1-55,5), ‘hassidé ‘Habad [5], Yéménites [6] et Italiens [7](Yécha’yahou 54,1-55,5) ont sélectionné la même haftara mais ils la terminent un peu plus loin.
Rites | Lecture commune aux différentes coutumes | Versets supplémentaires (après) |
Sépharades | Yécha’yahou 54,1-10 | |
Certains Achkénazes | Yécha’yahou 54,1-10 | |
Yéménites | Yécha’yahou 54,1-10 | |
Achkénazes | Yécha’yahou 54,1-10 | |
Italiens | Yécha’yahou 54,1-10 | |
‘Habad | Yécha’yahou 54,1-10 |
Les Karaïtes se placent comme à leur habitude hors des traditions rabbiniques en lisant un extrait différent quoique tiré des mêmes chapitres 54 et 55 de ce même livre (Yécha’yahou 54,9-55,12) [8]
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[3] Autre orthographe pour Noa’h: Noach.
[5] R’ Chaïm Miller (2006), Gutnick ed., pp. 7-9.
[7] Sidour de coutume italienne : סדר תפלות כמנהג איטאלייאני, 2010,ירושלים, p. 67
[8] Selon Wikipedia en français, consult. 29 déc. 2010.