Errata T. 3. (2013)

 

Errata

Commenter Vayikra « La voix de Jacob »  

TOME 3  (2013)  

au 29 avril 2018

 

 

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T.3. P. 082ème paragraphe – Fin de la 8ème ligne : supprimer « second »

2ème paragraphe –9ème ligne : - Remplacer « Chamen »  par « Chamem »

T.3. P. 09Note 29- Traduction plus précise :

« Nous ne faisons descendre devant l’arche pour diriger l’office, ni des hommes de Beth Shéan, ni des hommes de Haïfa, ni des hommes de Tiv’oni car ils prononcent le aleph comme un ‘ayin et le ‘ayin comme un alef » (déformant ainsi les mots de la prière).

T.3. P. 67Fin du 3ème paragraphe - Lire : « abah s’écrit אבה or, la valeur des lettres aleph bet hé »
T.3. P. 70Début du dernier paragraphe - Lire : « Ici, le verset comporte deux fois le même mot dont les finales (hé) sont différenciées par un point intérieur au hé »
T.3. P. 962ème paragraphe, 4ème ligne- Lire : « sacrifié »
Note 6 - Compléter par :

[« Le Tan’houma mentionne cette ressemblance avec les dix Paroles parce que cette paracha (chap. 19) a été dite à tous les enfants d’Israël »].

T.3. P. 102

 

Tableau. Premier commandement - Lire :
אָֽנֹכִי֙ יְיָ ﭏֹהֶ֔יךָ

Je suis Hachèm ton D.ieu… (Chémot 20, 2)

קְדֹשִׁ֣ים תִּֽהְי֑וּ כִּ֣י קָד֔וֹשׁ אֲנִ֖י יְיָ ﭏֱהֵיכֶֽם׃

Vous serez saints car Je suis saint (Vayikra 19, 2)

יְיָ ﭏֱהֵיכֶֽם׃

Hachèm votre D.ieu…

T.3. p. 103Tableau. 7ème commandement - Lire :

Certains apprennent de  קְדֹשִׁ֣ים תִּֽהְי֑וּ כִּ֣י קָד֔וֹשׁ אֲנִ֖י יְיָ ﭏֱהֵיכֶֽם׃  (Vayikra 19, 2)

[Note : Alors que le Tan’houma apprend d’un verset du chapitre 10, certains apprennent du verset du chapitre 19, 2 qui a été dit devant toute l’assemblée des enfants d’Israël. D’où une question pourquoi le Tan’houma considère-t-il le verset qu’il cite alors que n’étant pas dit devant toute l’assemblée des enfants d’Israël, il n’est pas comparable aux dix Paroles ? (Remerciements à Eliya’hou n’y pour sa question).  ]

T.3. pp. 105-106Dernière paragraphe et première phrase du paragraphe suivante - Lire à partir de la 2ème phrase : « Cette paracha commence par un futurקְדֹשִׁ֣ים תִּֽהְי֑וּ  « Vous serez saints »  [note- Bien que traduit par « soyez saints » (Bible du Rabbinat), ce mot rend non un ordre (impératif) mais une action inaccomplie. Chouraqui traduit bien « Vous serez consacrés ».] (Wayikra 19,2). Elle se termine par un impératif : וִֽהְיִ֤יתֶם לִי֙ קְדֹשִׁ֔ים כִּ֥י קָד֖וֹשׁ אֲנִ֣י יְיָ וָֽאַבְדִּ֥ל אֶתְכֶ֛ם מִן־הָֽעַמִּ֖ים לִֽהְי֥וֹת לִֽי׃ « Et soyez saints pour Moi car Je suis saint, moi Hachèm ; et vous serez séparés des peuples pour être à Moi » (Vayikra 20, 26) [Note- Tout comme וִֽהְיִיתֶ֣ם קְדֹשִׁ֔ים כִּ֥י קָד֖וֹשׁ אָ֑נִי  « Et vous serez saints, car Je suis Saint » (Vayikra 11, 44). Ici Chouraqui comme la  Bible du Rabbinat traduisent bien « Soyez… ».]. Entre ces versets situés de manière symétrique au second verset et à l’avant-dernier verset de la paracha,  la Torah expose un très grand nombre de commandements. »
T.3. p. 107Remplacer le paragraphe ‘Sainteté passive’  - « Une autre réponse est fournie par le Midrach hagadol; la sainteté d’Israël apparaît différente de celle de Hachèm ית"ש. « A cause du grand amour qu'il porte à Israël, II l'a appelé saint et S'est ainsi adressé à Moché: Je suis saint et les lieux où Je réside sont saints ; sanctifie Israël et demande-leur d'être saints afin que Ma Présence réside parmi eux » [Note : Midrach hagadol, cit. David Saada  (2008), Le point intérieur, p. 333.]. Ainsi ; la sainteté humaine n’est pas de même ‘nature’ que celle de D.ieu. L’être humain, plongé dans la matérialité de ce monde doit maîtriser ses pulsions (« abstention, séparation, abstinence, purification » [Note : David Saada  (2008), Le point intérieur, p. 333]. Rachi précise : « Dans tout endroit où tu trouves une restriction à l'immoralité tu trouves la sainteté » [Note : Cité par David Saada  (2008), Le point intérieur, p. 334]. La sainteté d’Israël est donc de l’ordre du réceptacle, c’est un premier niveau de sainteté : la capacité passive d’accueillir la Présence divine [Note : L’expression « sainteté passive » est de David Saada  (2008), Le point intérieur, p. 333]. »
T.3. p. 1072ème  paragraphe. Remplacer le début :

« Qu’est-ce que la sainteté des entants d’Israël ? Une première réponse entend le commandement קְדֹשִׁ֣ים תִּֽהְי֑וּ  « vous serez saints » comme …. »

T.3. p. 108Dernier paragraphe. Remplacer la phrase 2 :

« Notons l’importance que la Torah accorde au respect de l’étranger. »

T.3. p. 111Début du paragraphe 3 - Remplacer :« Une métaphore permet de comprendre l’articulation des deux dimensions de la sainteté, et le fait que ces deux dimensions composent un ensemble indissociable. La lumière… »
T.3. p. 115Paragraphes 2 et 3 - Remplacer par :

« Cette structure spirituelle des relations de Hachèm ית"ש aux enfants d’Israël a un parallèle avec l’enjeu spirituel du couple. L'homme est porteur de la sainteté active (relativement à la femme), et la femme de la sainteté passive (relativement à l'homme).

L’union de l’homme et de la femme « est, au moins potentiellement, la perfection de la sainteté humaine » [Note- D. Saada (2008), Le point intérieur, pp. 336-7.]. On comprend alors pourquoi le mariage s'appelle ‘Sanctification’ (kidouchine). Il s’agit de l’union des saintetés respectives, « active » et « passive ». De la sorte, le couple devient le vecteur du Projet de Hachèm ית"ש  [Note- On peut conclure sur des vœux pour les nouveaux couples. Que les familles fondées deviennent de petits « sancturaires ».].

T.3. p. 117Paragraphes 2 - Remplacer par :

« Ils doivent éviter tout contact avec la mort, sauf en cas de nécessité pour les derniers devoirs dus à sept types de proches : père, mère, épouse, fils, fille, sœur non mariée, frère (21, 1-3) ». Etc.

T.3. p. 139Paragraphes 1 à partir de la fin de la 8ème ligne- Remplacer par :

« Le Cohen doit éviter de se mettre en contact avec la mort, sauf pour ses proches - père, mère, fils, fille, sœur, frère (Vayikra 21, 1-3) [Note- Voir : Choul'hane Aroukh, Yoré Dé’a 369-373.] ; et son épouse [Note- Évidemment il s’agit d’une épouse permise selon la halakha (mariage rabbinique).] qui est indiquée par les mots אִם־לִשְׁאֵר֔וֹ הַקָּרֹ֖ב אֵלָ֑יו (Vayikra 21, 2) [Note- Ces mots sont expliqués par T. B. Yébamot 22b ; Rachi ; Choul’hane ‘Aroukh, Yoré Dé’a 373, 4).].  etc.

T.3. p. 141Fin de la note 125 – « lire T. 1 »
T.3. p. 145Paragraphes 2 (2ème et 3ème phrase) - Remplacer par :

« Dans ce verset, on peut noter que le signe de cantilation rabia met l'accent sur le mot Lekha signifiant "pour toi". On est donc tenté de trouver ici une allusion à l’importance des mistvot relatives à la sainteté du temps : y compris pour le compte du ‘Omer (note) ».

Note : Voir notre dracha à ce sujet dans ce volume : pp. 118-133. Comme la paracha se lit dans l’une des semaines où l’on compte le ‘omer (c’est l’occasion d’aborder ce sujet). »

 

nt un ensemble indissociable. La lumière… »
T.3. p. 115Paragraphes 2 et 3 - Remplacer par :

« Cette structure spirituelle des relations de Hachèm ית"ש aux enfants d’Israël a un parallèle avec l’enjeu spirituel du couple. L'homme est porteur de la sainteté active (relativement à la femme), et la femme de la sainteté passive (relativement à l'homme).

L’union de  l’homme et de la femme « est, au moins potentiellement, la perfection de la sainteté humaine » [Note- D. Saada (2008), Le point intérieur, pp. 336-7.]. On comprend alors pourquoi le mariage s'appelle ‘Sanctification’ (kidouchine). Il s’agit de l’union des saintetés respectives, « active » et « passive ». De la sorte, le couple devient le vecteur du Projet de Hachèm ית"ש  [Note- On peut conclure sur des vœux pour les nouveaux couples. Que les familles fondées deviennent de petits « sancturaires ».].

T.3. p. 118Titre : lire « Mitsvot  envers Hachèm, mitsvot  envers son prochain »
T.3. p. 145Paragraphes 2 (2ème et 3ème phrase) - Remplacer par :

« Dans ce verset, on peut noter que le signe de cantilation rabia met l'accent sur le mot Lekha signifiant "pour toi". On est donc tenté de trouver ici une allusion à l’importance des mistvot relatives à la sainteté du temps : y compris pour le compte du ‘Omer (note) ».

Note : Voir notre dracha à ce sujet dans ce volume : pp. 118-133. Comme la paracha se lit dans l’une des semaines où l’on compte le ‘omer (c’est l’occasion d’aborder ce sujet). »

 

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