Sur le cha'atnez
Le vêtement fatal…
Récit familial
Ce récit véridique fait comprendre l’importance de la mitsva du cha’atnez [1].
Une dame habitant Jérusalem confia de nombreux vêtements à un vérificateur (bodek) pour s’assurer qu’ils ne comportaient pas de cha’atnez. Il s’avéra que l’un des habits de la dame comportait un peu de lin dans l’encolure.
Lorsqu’elle apprit cela, la dame éclata en sanglots : depuis son mariage, elle n’avait pas eu d’enfant même si elle n’avait jamais cessé de prier de tout son cœur et aller même lire les Téhilim au Kotel hama’aravi, le Mur occidental du Temple…
Or, elle portait fréquemment ce vêtement [2].
[1] Sur ce sujet, voir: Chalom Lévy (2010), Les lois du cha'atnez. Guide pratique. Editions Darkon-Passeport, Paris.
[2] Adaptation d’après La Mitsva et son histoire N°32, Institution Yad Mordekhaï, Paris, janv. 2009.