« La voix de Jacob », TOME 2
edition de nov. 2009
ERRATA
au 27 déc. 2011
page | lire |
387 | Lire : « recensement des Léviim ». |
388 | Note 7- Lire : Chaloch ma’hanot ayou cham … |
389 | Note 11, ligne 1- Lire ; « Rachi, Bamidbar 2, 17 ». Note 11, ligne 2- Lire ; « (Rachi, ». |
390 | Ligne 18- Lire : Or il est dit ailleurs סֹפֵֽר׃ וּמִ֨זְּבוּלֻ֔ן מֹֽשְׁכִ֖ים בְּשֵׁ֥בֶט |
390 | Note 12 – Lire : Onkelos, Sur Béréchit 49, 10. |
405 | Note 30 : lire « 164 avant l’ère courante » et non 139. |
412 | Note 50, dernière ligne - Supprimer la répétition de « ferait allusion ». |
414 | Lire : « savoir qu’il n’a atteint que » |
417 | Note 4 : Remarque à propos de la libation de vin qui accompagnait les sacrifices accomplis toute l’année - Seuls étaient concernés les sacrifices de 'ola et de chélamim et non ceux de 'hatat et de acham (la joie qui suit la consommation de vin excluant ces derniers). |
429 | Remplacer le paragraphe 2, par : « Les révoltés sont menés par Kora’h (un Lévite) et trois membres de la tribu de Réouben (Datan, Abiram et On). Au total, avec Kora’h, 254 révoltés, 250 membres des tribus se regroupant autour d’eux (23 hommes par tribu, hors celle de Lévi, autant qu’il en fallait pour constituer le petit Sanhédrin de chaque tribu). Il s’agit de notables. Cette révolte s’inscrit aussi dans un contexte plus général : l’insatisfaction des aînés qui, depuis la faute du veau d’or, sont dépossédés de leur prêtrise au profit des Lévites (Ibn ‘Ezra). » |
437 | Note 47 - Lire : Bamidbar 16, 15. |
422 | Dernier paragraphe, ligne 4 - Lire : « Voir les tsitsits permet de ne pas dévier de ses bonnes résolutions et donc… ». |
427 | Note 49, 11ème ligne - Lire : הלל |
428 | Note 54 - Lire : Kol hatorah. |
435 | 3ème paragraphe, ligne 2- Lire « celle » au lieu de « cette ». |
442 | Note 77 - Remplacer la fin de l’avant-dernière ligne et la dernière ligne par : « Noter une exception אֶ֨ת־הַמִּשְׁכָּ֔ן (Chémot 35, 11) אֶ֨ת־הַמִּשְׁכָּ֔ן est affecté d’un ta’am tout en étant suivi d’un makaf qui le relie au mot suivant ». |
444 | Ligne 10 - Lire : ‘Edouyot Note 3 : Lre – « Lait et viande sont permis, s’ils sont consommés séparément, mais ils sont interdits mélangés” |
445 | 2ème paragraphe, dernier mot de la igne 5 - Lire : « aboutissants » |
446 | 6 lignes avant la fin - Remplacer « détruirai » par « vouerai à l’anathème » |
450 | Avant dernière ligne ; Lire – « on obtient le mot ech (feu) » |
452 | Fin de la note 5 ; Lire – « Cela est expliqué par le verset אַשְׁרֵ֣י אָ֭דָם מְפַחֵ֣ד תָּמִ֑יד וּמַקְשֶׁ֥ה לִ֝בּ֗וֹ יִפּ֥וֹל בְּרָעָֽה׃ « Heureux l’homme qui tremble toujours ; quant à [celui qui] durcit son coeur [il] tombe dans le malheur. » (Michlé 28, 14) que R’ Elie Munk explique comme suit : Bien que Hachèm donne aux hommes pieux toutes les promesses, ils n’arrivent pas à se dégager de l’angoisse. |
478 | Note 2 - Lire : « Voir ci-après le tableau des étapes de l’Exode depuis l’Egypte jusqu’à l’entrée en Erets Israël ». |
489 | Etape 34 ; lire (Bamidbar 21, 4-9). |
482-492 | Numérotation des 42 étapes de la Sortie d’Egypte à la traversée du Jourdain. Migdol a été citée avec Pi ha’hirot mais c’est plutôt une 4ème étape (peut-être après le passage dans la mer ?). Si on retient ce compte, il faut décaler toutes les étapes suivantes, et terminer par Moab en 42ème étape. |
486 | Note 68 : police - times 9. |
516 | 2ème paragraphe, lignes 5 et 6 - Lire Iyob. |
529 | Lire רַגְל֕וֹהִי מנהון (מִנְּהֵן֙) דִּ֣י פַרְזֶ֔ל ומנהון (וּמִנְּהֵ֖ן) דִּ֥י חֲסַֽף׃ |
535 | 2ème paragraphe, fin de la ligne 1 – Lire : « Il n’est cependant pas exclu de la »… |
536 | 1ère ligne - lire : Débarim 16, 17 et non 17,17 |
537, 539, 541, 543, 545, 547 | En-tête - Lire : 16,17 et non 17,17 |
547 | 2ème paragr. Ligne 2- Lire : « A l’est du Jourdain » |
548 | Avant-dernière ligne ; 2ème phrase – lire « Ce verset nous » – au lieu de « Ainsi... où l’on |
558 | ligne 9 - Lire : Iyob. |
564 | Ligne 4 - Lire : « (25, 17-19)» au lieu de « (5, 17-19)» Ligne 1 après le verset en hébreu - lire : « le livrera » Ligne 9 après le verset en hébreu - lire : « le livrera » |
571 | Note 41, ligne 6 Lire : ’Habakouk. |
577 | Note 69 : remplacer la dernière phrase par « Même à Pourim, il ne faut négliger aucune mitsva, mais au contraire chercher à se réjouir en les pratiquant toutes correctement. » |
579 | Note 80, ligne 2 – Lire : « mitsvot ». |
580 | 2ème paragraphe, ligne 4 – Lire : « Laïc ». 2ème paragraphe, ligne 5 – Lire : « dépourvues ». Note 86, ligne 2 – Lire : Métsora’ |
581 | Titre - remplacer par : « Quand tu viendras » |
582 | Titre : lire - « les prémices et le monde futur ». Note 8 (dernier paragraphe) - Lire : Iyob et non Eyob. |
592 | 6ème ligne - Lire: « sixième millénaire » Définition de la 2ème colonne du tableau - Lire : « Les siècles du 6ème millénaire ». Dans tout le tableau , remplacer« cinquième » par « sixième ». Dernière ligne (avant les notes) – Lire « sixième millénaire » |
600 | 3ème paragr. Ligne 2 - Lire : (Débarim 31,18) |
609 | Note 52 - Lire : (Bamidbar 15, 31) |
614 | Milieu de la page. Lire : " Rachi rapporte cela aux générations de 'Hanokh et à celles du déluge " |
622 | I.3 (8ème ligne avant la fin) – Lire : גימטריאות guématriot |
646-647 | Police heb. Ezra sil |
647 | Ligne 11- Lire : « numérotation. Chémot chap. 20. Les versets 2 et 3 ne constituent qu’un seul verset dans les sifré torah yéménitesאָֽנֹכִי֙ יְהוָ֣ה אֱלֹהֶ֔יךָ אֲשֶׁ֧ר הֽוֹצֵאתִ֛יךָ מֵאֶ֥רֶץ מִצְרַ֖יִם מִבֵּ֣ית עֲבָדִ֑ים לֹֽא־יִהְיֶ֥ה לְךָ֛ אֱלֹהִ֥ים אֲחֵרִ֖ים עַל־פָּנָֽי׃. Il en découle une numérotation décalée jusqu’à la fin du chapitre 20. Par exemple : Chémot 20 13 (sifré torah sépharades, achkénazes) est numéroté Chémot 20,12 (sifré torah yéménites) ; le décalage continue jusqu’à la fin du chapitre: Chémot 20, 23 (sifré torah sépharades achkénazes) est numéroté Chémot 20,22 (sifré torah yéménites) ». Notons que le Tikoun ich Matslia’ n’indique pas de sof passouk du début du verset 2 à la fin du verset 6 |
649 | Dernière ligne - Lire : Iyob. |
650 | Lire : ’Habakouk . |
653 | Lignes 4 et 5 - Supprimer la répétion de « Méguilat Antiokhos » |
654-655 | Note 81 : Lire « Liste des 6 ordres et des 63 traités » Note 83, Lire : « Ordre » à la place de « Traité » |
666 | 4ème et 5ème ligne avant la fin - Lire : « écrit selon l’esprit de l’ouvrage ». |
678 | 3ème ligne - Lire : « les soixante-treize règles de R’ El’azar de Worms ». |
680 | Lignes 14 et 15 - Lire : le kof de Téhilim 84, 4; le mem de מִ֭שְׁלֵי dans Michley 1,1; |
682 | Note 40: supprimer la fin de la note à partire de "mais je n’ai pu valider" (de fait anokhi est surmonté par un rabia', mais c'est un autre mot du verset qui est pointé). Voir la liste dans la deuxième édition. Note 43- Lire : kol hatorah. |
684 | 8ème ligne - Lire : « Lieu » et non « lieu ». Notes 44 et 45- Lire : kol hatorah. Note 52 – remplacer les deux dernières phrases, par : « Est-il écrit ‘fils de Moché’ ou « fils de Ménaché »? La lettre suspendue viendrait éviter « une interprétation difficile du verset et préserve l’honneur du grand maître- Joseph Cohen (1999), La fabuleuse histoire de l’écriture hébraïque, Ed. du Cosmogone, Lyon, p. 127 ». |
685 | 3 lignes avant la fin du texte - Supprimer la répétion de « institution remonte à ». |
691 | Dernier paragraphe, ligne 1 – Lire : « Nistar » ([valeur] cachée, mot de la même famille que le verbe הִסְתִּר histir = tenir secret). Sur la même ligne – Lire : « la valeur Nistar ». |
699 | Note 1, 1ère ligne - supprimer le mot « chrétiens ». (Elias Lévita était un savant juif). |
712 | Note 85, lign. 5 - Lire : « pour fermer la ». |
713 | Ligne 18 : lire le tséré est suivi « du youd » et non « du aleph ». Note 89 - Lire : « ‘Alé hadas ». |
714 | Paragraphe 6-1 : « La règle guimel (voyelle longue précédant le chéwa’) vient expliquer cela dans certains cas ». Ainsi: mochévotékhem ; ‘ovérim ; |
715 | Supprimer les lignes 2 et 3 concernant le ‘holem qui est une voyelle longue. La prononciation du chéwa’ trouve son explication par l’application de la règle guimel (voyelle longue précédant le chéwa’). Lignes 13 à 18 - Remplacer par : « Ces cas peuvent s’expliquer par la règle guimel (voyelle longue précédant le chéwa’) ». En effet, les cas cités relèvent de la règle guimel (chéwa’ après une voyelle longue). |
716 | Supprimer les lignes 3 et 4 (le cas cité ne correspond pas car le taw de וַתְּהִי־לִ֗֝י comporte un daguèch) |
718 | 3ème ligne avant les notes - Lire : métsa-atnou (Bamidbar 20, 14); Supprimer les références de la note 120. |
738 | 8ème et 9ème lignes avant les notes - Remplacer par ce texte, plus précis : « Le ta’am peut jouer le rôle du ga’ya servant à informe sur la prononciation. Après une voyelle longue, il peut rappeler que le chéwa’ se prononce (règle guimel du chéwa’). » |
739 | 8ème ligne - Lire : « séfer Pardes rimonim » |
741 | Ligne Chalchélet : dans la case ‘Place de l’accent tonique’, lire : « L’accent n’est pas forcemment sur la syllable portant le ta’am » |
748 | 8ème ligne - Lire : Forme pronominale התפעל (hitpa’el) – exemple : s’habiller. Forme réfléchie, tantôt passive, tantôt réfléchie. Pas de passif dans l’hébreu biblique. נתפעל (nitpa’el) mais, il existe dans la littérature postbiblique et moderne |
775 | Colonne de droite ; avant dernière ligne – Lire : Sofer, R’ Ya'akov 'Haïm זצ"ל (Bagdad 1870 – 1939, 9 sivan Jérusalem) auteur du Kaf ha’ahyim |
609 | Note 52 : Lire : (Bamidbar 15, 31) |