Outre les voyelles (« points-voyelles »), le texte imprimé de la Bible comporte d’autres signes servant à indiquer la mélodie (plusieurs mots servent à les désigner.
Pluriel : en hébreu té’amim; ta’amé hamikra (טעמי המקרא -signes mélodiques de la lecture de la Torah). On parle aussi de signes de cantilation; ou de signes musicaux.
[1] Sur les té’amim, voir par exemple :
- R’ Aharon ben Moché ben Acher (dernier maître de la Massorah, école des sages de Tibériade, 10èmesiècle), Séfer diqdouqué hate’amim), Leipzig, 1879, http://www.hebrewbooks.org/38509, 136 p. ;
- R’ Dufour, Y. R. (2003), Modia’ ;
- R’ Lambert, Mayer (2005), Termes massorétiques prosodie hébraïque et autres études. Appendices à la grammaire hébraïque. App. VI: ‘Les accents de pause’, pp. 17-38, Droz, Genève; Kountrass, pp. 23-43;
- Sidour Pata’h Eliyahou bilingue, 1997, Ed. Colbo, Paris, page 438 ;
Et : Auvray Paul (1952); Derenbourg J. (1870), “Quelques observations sur l’accentuation”, Journal Asiatique, t. 2, pp. 519-528 ; Joüon P. (1923), pp. 39-46 ; Margolis Max L., “Accents”, Jewish Encyclopedia] ; WickesW. (1881), On theAccentuation of the Three so-called Poetical Books of the Old Testament; Wickes W. (1887), On the Accentuation of the Twenty-one so-called Prose Books of the Old Testament, pp. 120 et suiv. ;.suiv. ;.